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LE FORUM ROUGIER


FORUM : Autres régimes

apres 60ans,lorsque le poids deviens probleme de sante

par perle2lune (13) Posté le 01-01-2010 à 19:40
Ceci est un article paru dans psychologie magazine et écrit par le Docteur APFELDORFER qui permet d'avoir les grands principes de la RA façon GROS. J'avais envie de vous faire partager cela.

1. Ressentez la faim

Essayez de ne rien manger pendant quatre heures. Si cette idée vous effraie, il se peut que vous ayez peur d'avoir un malaise. Vous pourrez vérifier concrètement qu'il ne se passe rien de dramatique ! Si vous ne ressentez jamais la sensation de faim, il se peut que vous mangiez « en avance », c'est-à-dire que vous sur mangiez pour juguler votre peur du manque ; il se peut aussi que vous ayez totalement perdu le contact avec vos sensations alimentaires. Si, à l'inverse, vous avez tout le temps faim, vous confondez peut-être faim physiologique et faim psychologique.

Les manifestations de la faim diffèrent d'une personne à l'autre. Parmi les plus fréquentes : une sensation de faiblesse (manque d'énergie, petits vertiges) et un trouble de l'humeur (irritabilité).

> Le conseil : le but est de nouer une relation sereine à la nourriture. Pendant ce petit jeûne, vaquez à vos occupations sans guetter les signaux de votre corps, mais en les laissant venir à vous.

benjamindenice (06) répond Posté le 02-01-2010 à 09:09
super
mais mon souci est que j'aime me détendre devant la télé tout en mangeant

le matin , les infos
à midi , tout le monde veut prendre sa place
au gouter , une série
diner, plus belle la vie

ça va etre dur de casser cette routine délicieuse et déstressante

benjamindenice (06) répond Posté le 02-01-2010 à 05:21
prends une pendule en incantant "maigrir"

perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 19:43
9. Ne mangez pas pour plus tard

La peur du manque, la crainte des lendemains poussent à manger comme si l'on faisait des provisions « au cas où »… Cette peur, caractéristique des tempéraments anxieux, est souvent induite par les régimes. Leur violence pour le psychisme et l'organisme est telle que l'on s'en défend en accumulant la nourriture, en surmangeant.


> Le conseil : revenez au moment présent, demain est un autre jour. Ici et maintenant, quel est le degré de votre faim ? Mangez uniquement en fonction de cette donnée. Souvenez-vous, il y a des pâtisseries partout…



10. Soyez seul juge de vos besoins

Manger pour faire plaisir, se resservir pour ne pas vexer, engloutir son assiette sans lever le nez pour se protéger d'un climat agressif… Le groupe fait facilement émerger des comportements dysfonctionnels. C'est pourquoi il est primordial de rester branché sur ses besoins réels. Ne tenez pas compte des injonctions des uns et des autres, gardez votre cap. Evaluez votre satiété, arrêtez ou continuez même si vos compagnons font l'inverse. Quoi qu'il arrive, restez toujours centré sur vos sensations corporelles.

> Le conseil : si vous avez envie, une fois de temps en temps, de faire un vrai repas de banquet, duquel vous ressortirez avec la sensation d'avoir effectivement trop mangé, faites-le sans hésitation ! Vous êtes dorénavant dans une dynamique qui vous permettra de vous réguler les jours suivants.


perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 19:43
ÉVALUEZ VOTRE APPÉTIT



Avant de manger, puis tout au long du repas, écoutez votre faim en vous situant sur l'échelle suivante :

• De 1 à 3 : Vous pourriez dévorer un bœuf !

• De 3 à 5 : Vous avez faim mais sans plus.

• De 5 à 7 : Vous pourriez vous arrêter là.

• De 7 à 10 : Vous n'avez plus faim mais il vous reste un peu de place…

• A partir de 10 : Votre ventre va éclater !



Si vous êtes à 3, vous n'avez probablement plus besoin d'un volume important.

A 4 et 5, essayez de ne plus vous resservir, une dernière bouchée savourée "en conscience" devrait vous permettre de vous arrêter en douceur.

A partir de 6, vous êtes en surconsommation, mais ne culpabilisez pas, il faut du temps pour remettre les pendules à l'heure.


A un moment donné, on peut avoir faim ou bien avoir juste envie de manger. Il n'est pas toujours facile de faire la part des choses. Le besoin de se réconforter avec un peu de nourriture est légitime, le but n'est pas de devenir une machine parfaitement huilée, mais une personne plus consciente, et donc plus libre dans ses choix.



perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 19:42
6. Chassez les parasites

Le zen dit : « Quand vous mangez, mangez ! Quand vous lisez, lisez ! » Cette philosophie, basée sur l'importance du moment présent, trouve toute sa pertinence ici. Vous êtes à table, devant votre assiette. Chassez les parasites autour de vous. Ne lisez pas le journal, ne regardez pas la télé, ne vous lancez pas dans un débat politique passionné. Soyez à ce que vous faites : simplement manger. Évidemment, si vous déjeunez en groupe, pas question de vous isoler comme un bénédictin.



> Le conseil : pratiquez des pauses régulièrement. Un temps pour parler et écouter, un autre pour vous nourrir : peu à peu, cette alternance se fera naturellement.



7. Pratiquez la modération

Il existe trois moyens simples pour manger avec mesure et conscience.


• Manger de tout, lentement, en vous concentrant bien sur la saveur des aliments, et laisser l'excédent de nourriture dans votre assiette.

• Réduire la taille de vos portions de départ et vous interroger en cours de route sur vos besoins.

• Réduire le nombre de plats du repas (cela vaut surtout pour les gros mangeurs) ou ne prendre qu'une seule portion de chaque plat (pour les grignoteurs).



> Le conseil : acceptez les temps morts entre les plats.

perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 19:42
8. Identifiez vos envies

Vous êtes à deux doigts de vous jeter sur un paquet de cookies… Pourquoi pas ? Mais avant de passer à l'acte, interrogez-vous : est-ce de l'envie ou de la faim ?


Si c'est de la faim, mangez. Sinon, demandez-vous ce qui motive votre envie. A ce moment précis, êtes-vous triste ? stressé ? en colère ? euphorique ? Avez-vous besoin de réconfort ? En effet, nos pulsions et nos fringales sont souvent le signe d'une perturbation d'ordre émotionnel : nous mangeons pour éviter d'être trop envahis par une émotion. Qu'elle soit positive ou négative.

Laissez venir les réponses sans les trier. Ensuite, buvez un verre d'eau, allez faire un tour, passer un coup de fil. Il s'agit de mettre votre envie à l'épreuve. Si elle perdure, mangez ces biscuits avec plaisir, sans culpabilité. Il y a de fortes chances pour que le travail préalable sur vos émotions vous aide à rester dans les limites du raisonnable.



> Le conseil : à chaque "crise de tentation", essayez de noter sur le même carnet les émotions qui y sont associées, sans les censurer. Peut-être finirez-vous par remarquer que ce sont souvent les mêmes qui reviennent.


perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 19:41
4. Ralentissez

Il faut à notre organisme entre quinze et trente minutes pour que les signaux de rassasiement soient perçus et enregistrés. Le message entre estomac et cerveau n'est pas instantané, certains enzymes impliqués dans le déclenchement de la satiété ne sont libérés qu'une trentaine de minutes après le début du repas. En mangeant trop vite, on a toujours tendance à sur manger.


> Le conseil : étirez votre repas sur au moins une demi-heure. Que votre nourriture soit bonne ou médiocre, dégustez-la en gastronome, avec lenteur.



5. Faites une pause au milieu du repas

Interrogez-vous. Avez-vous toujours très faim, moyennement faim, presque plus faim ? Pour vous aider, utilisez l'échelle de rassasiement (lire encadré ci-contre). Si vous vous sentez repu, arrêtez-vous là. Même si vous pensez qu'il vous reste de la place pour le gâteau au chocolat. Dites-vous que vous l'apprécierez encore davantage plus tard (vous ne vivez pas au milieu du désert, il y a des pâtisseries partout !). En revanche, si la faim vous tenaille encore, poursuivez votre repas.


> Le conseil : interrogez-vous couverts posés et bouche vide. Le meilleur critère indiquant que l'on est modérément rassasié est le plaisir que l'on prend à manger : quand il commence à faiblir, c'est que l'on a assez mangé.

perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 11:41
Voilà, c'est avec ces bons conseils que j'ai réussi en moins de 6 mois à combattre ma boulimie !

perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 11:40
4. Ralentissez

Il faut à notre organisme entre quinze et trente minutes pour que les signaux de rassasiement soient perçus et enregistrés. Le message entre estomac et cerveau n'est pas instantané, certains enzymes impliqués dans le déclenchement de la satiété ne sont libérés qu'une trentaine de minutes après le début du repas. En mangeant trop vite, on a toujours tendance à sur manger.


> Le conseil : étirez votre repas sur au moins une demi-heure. Que votre nourriture soit bonne ou médiocre, dégustez-la en gastronome, avec lenteur.



5. Faites une pause au milieu du repas

Interrogez-vous. Avez-vous toujours très faim, moyennement faim, presque plus faim ? Pour vous aider, utilisez l'échelle de rassasiement (lire encadré ci-contre). Si vous vous sentez repu, arrêtez-vous là. Même si vous pensez qu'il vous reste de la place pour le gâteau au chocolat. Dites-vous que vous l'apprécierez encore davantage plus tard (vous ne vivez pas au milieu du désert, il y a des pâtisseries partout !). En revanche, si la faim vous tenaille encore, poursuivez votre repas.


> Le conseil : interrogez-vous couverts posés et bouche vide. Le meilleur critère indiquant que l'on est modérément rassasié est le plaisir que l'on prend à manger : quand il commence à faiblir, c'est que l'on a assez mangé.

perle2lune (13) répond Posté le 01-01-2010 à 11:39
2. Installez une routine

Pour ressentir physiquement la faim puis la satiété, vous devez en faire régulièrement l'expérience. Prenez vos repas à heure fixe et le même petit déjeuner tous les matins. Après dix jours, vous devriez ressentir la faim juste avant l'heure de manger, mais aussi mieux percevoir votre seuil de rassasiement.


> Le conseil : évitez les saveurs nouvelles. Il est plus facile de repérer son seuil de satiété avec des aliments familiers.


3. Concentrez-vous sur le goût

Prêtez attention aux premières bouchées. Ce sont elles qui nous renseignent sur la saveur de l'aliment : est-il salé ? trop sucré ? amer ? fondant ? est-il bon ou médiocre ? Cet « arrêt sur saveur » est essentiel car nous fantasmons le goût des bouchées suivantes. Ce qui explique que l'on puisse avaler jusqu'à la dernière bouchée un gâteau au chocolat médiocre parce qu'on le fantasme délicieux. Contrairement à notre sens gustatif, notre imaginaire ne connaît pas de lassitude. Lorsque l'on prête réellement attention au goût, vient le moment où il y a fléchissement du plaisir à manger. Le goût a changé, on peut s'arrêter.


> Le conseil : prenez de petites bouchées. Utilisez vos dents, votre langue et votre palais. Posez vos couverts pendant que vous mastiquez.



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*Les témoignages présentés sont des expériences individuelles qui ne sont ni caractéristiques, ni garanties. Comme pour tout programme de rééquilibrage alimentaire, des plans de repas contrôlés et des exercices physiques réguliers sont nécessaires pour perdre du poids à long terme. Demandez toujours l'avis de votre médecin traitant avant d'entreprendre un régime amincissant, un programme sportif ou de modifier vos habitudes nutritionnelles.